Proverbe japonais

Un chemin de mille lieues commence par un petit pas.

Sur un cerisier mort, on ne trouve pas de fleurs.

Le meilleur miroir ne reflète pas l'autre côté des choses.

En atteignant le but, on a manqué tout le reste.

Celui qui a une bonne écriture dessine bien.

Sept fois à terre, huit fois debout.

Quiconque ne touche pas à un Dieu n'est pas exposé à sa vengeance.

La pluie tombe toujours plus fort sur un toit percé.

Le malheur peut être un pont vers le bonheur.

L'amour d'un père est plus haut que la montagne. L'amour d'une mère est plus profond que l'océan.

Lorsque l'eau monte, le bateau fait de même.

La vie est une bougie dans le vent.

Quand la lune est pleine, elle commence à décliner.

La neige ne brise jamais la branche du saule.

On ne peut admirer en même temps la lune, la neige et les fleurs.

Le malheur peut être un pas vers le bonheur.

Le miroir est l'âme de la femme comme le sabre est l'âme du guerrier.

Même un chien trouve immangeable une querelle de ménage.

L'espace d'une vie est le même, qu'on le passe en chantant ou en pleurant.

Un seul frôlement de manches fait naître l'amour.

Mieux vaut voyager plein d'espoir que d'arriver au but.

Les mots que l'on n'a pas dits sont les fleurs du silence.

On apprend peu par la victoire, mais beaucoup par la défaite.

Trop est pire que peu.

La mort est à la fois plus grande qu'une montagne et plus petite qu'un cheveu.

Les enfants grandissent, même sans parents.

On ne peut pas chasser le brouillard avec un éventail.

Si tu crois tout ce que tu lis, tu ferais mieux de ne pas lire.

Les généraux triomphent, les soldats tombent.

Les bonnes doctrines peuvent se passer de miracles.

En touchant le vermillon, on se salit de rouge.

S'il travaille pour toi, tu travailles pour lui.

On peut aussi bien prier une sardine, ce n'est qu'une question de foi.

Apprends la sagesse dans la sottise des autres.

Ce qu'un homme ne dit pas est le sel de la conversation.

L'absent s'éloigne chaque jour.

Même la pensée d'une fourmi peut toucher le ciel.

La vie humaine est une rosée passagère.

La louange est le commencement du blâme.

Les enfants sont un fardeau éternel.

Que deux hommes se fâchent, et leurs chiens feront de même.

S'il va dehors, même le chien peut rencontrer le bâton.

La femme infidèle a des remords ; la femme fidèle a des regrets.

Même pour être voleur, il faut apprendre dix ans.

Si vous cherchez la source du fleuve, vous la trouverez dans les gouttes d'eau sur la mousse.

La vie est une lumière devant le vent.

A la première coupe, l'homme boit le vin ; à la deuxième coupe, le vin boit le vin ; à la troisième coupe, le vin boit l'homme.

Le sac des désirs n'a pas de fond.

Laissez deviner aux hommes par vos propres exploits qui étaient vos ancêtres.

Les poussières qui s'amassent forment une montagne.

Le clou qui dépasse appelle le marteau.

L'eau prend toujours la forme du vase.

Il est impossible de se tenir debout en ce monde sans jamais se courber.

Une rencontre n'est que le commencement d'une séparation.

L'oiseau en cage rêvera des nuages.

On commence à vieillir quand on finit d'apprendre.

Nul n'a raison contre la colère du seigneur ni les larmes d'un enfant.

Dieu habite dans un coeur honnête.

Celui qui confesse son ignorance la montre une fois ; celui qui essaie de la cacher la montre plusieurs fois.

Les vers silencieux percent de grands trous dans le bois.

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