Proverbe brésilien

Dans la maison du forgeron la broche est en bois.

Là où le sang a coulé, l'arbre de l'oubli ne peut grandir.

Le pauvre mange de la viande quand il se mord la langue.

Un vieux père et des manches déchirées n'ont jamais déshonoré personne.

Le saint de la maison ne fait de miracles.

Le perroquet mange le maïs, et c'est la perruche qui en est accusée.

La bonne volonté raccourcit le chemin.

Les paroles ne salent pas la soupe.

Une orange dans la rue : où elle est pourrie, où il y a des vers.

Dieu est grand mais la forêt est encore plus grande.

Si j'utilise les mains, c'est que l'amour est aveugle.

Quand il pleuvra de la bouillie, les mendiants auront des fourchettes.

Tant que je cours, mon père a un fils.

La terre n'a pas soif de sang des guerriers, mais de la sueur des hommes.

L'amour est aveugle, il faut donc toucher.

Quand il y a trop d'offrandes, le saint se méfie.

L'eau douce gouttant sur la pierre dure finit par la percer.

Tous les cigares finissent en fumée.

Cookies